Bonjour à tous et une très bonne année 2014 à vous et souhaitons nous chance et courage, ainsi que la santé, pour affronter une nouvelle année de RER B.
J’étais un peu absent pendant ces périodes de fête, mais le blog va reprendre du service, en essayant de ne pas disparaitre sous les tentatives de la RATP qui lance son propre blog RER B (http://www.rerb-leblog.fr/), animé par un avatar féminin (Céline Laquiche) qui va avoir bien de la peine et du travail pour convaincre. On lui souhaite également bon courage pour 2014.
Avant de commencer cette nouvelle année, je vous propose de vous retourner un peu en arrière et de faire le bilan de l’année 2013, sachant que j’ai commencé mes statistiques à partir du mois de novembre et sur les jours ouvrés seulement, mais il y a déjà des informations intéressantes :
Sur 42 jours ouvrés, on compte 24 jours de dysfonctionnement, soit 57% de jours à problèmes.
Si on regarde l’origine des problèmes, on peut évaluer la répartition des causes entre la RATP (77%) et les voyageurs (23%), et voir que la RATP qui a une certaines propension à rejeter la faute des problème sur les usagers (voir les articles « la faute aux usagers » et « c’est pas moi, c’est lui« ) feraient mieux de commencer par balayer devant sa porte.
Les statistiques complètes (cliquer pour agrandir) :
La répartition proposée est donnée par le code couleur, et est issue de mes comptages sur novembre et décembre et donc vérifiable, sachant que je tiens le fichier excel des comptages à la disposition de qui me les demandera.
L’objectif de tout ce travail à suivre sur 2014 et, ne l’oublions pas, d’être prêt dès la légalisation des « class actions » en france, pour demander réparation en nom collectif pour les conditions déplorables de transports, les préjudices en terme d’emploi (arrivé systématique en retard), l’atteinte à la qualité de vie, et le coût financier individuel en regard de l’absence de qualité de service.